Greg Egan
La cité des permutants
Dans une sorte de futur, Paul Durham joue avec les Copies informatiques qu'il fait de lui-même avec facilité, comme tout ceux qui veulent continuer à vivre après leur mort physique. Si ce n'est que lui va beaucoup plus loin et arrive à créer un univers en expansion constante en construisant la théorie d'un réel fait de poussières, qui trouve sa cohérence grâce aux êtres intelligents qui y raisonnent. Ou quelque chose d'approchant. Cet univers serait forcément immortel et les Copies qui y vivraient aussi.
Plusieurs voix, d'abord d'humains ou de Copies dans notre monde, puis de Copies dans cet espace croissant pour toujours.
Plusieurs voix, d'abord d'humains ou de Copies dans notre monde, puis de Copies dans cet espace croissant pour toujours.
J'ai à la fois aimé pour les troubles et les vertiges du sujet des Copies, de la possibilité d'un créateur, de son inutilité, de l'alien virtuel dans une zone aux lois physiques et essentielles transformés.
Mais trop étrange, abscons parfois, comme un fantasme qui indiffère.
rapelle
Certaines nouvelles du recueil d'Axiomatique, du même auteur.